Le troisième jour, après le petit déjeuner sur la terrasse de l'appartement dominant le quartier de Dokki, nous partons à la gare Ramsès. Malheureusement, pas de train avant deux heures pour Alex, alors on se replie sur le bus. Nous traversons la région fertile du Delta du Nil avant d'arriver à la gare centrale. Ici, plusieurs différences avec Le Caire, la ville est légèrement plus calme (mais les rues toutes autant difficiles à traverser...) mais surtout, l'air de la mer se fait sentir, changeant de l'atmosphère cairote. Les bâtiments se font plus colorés et au détour d'une rue on peut tomber sur des immeubles tout ce qu'il y a d'européen, vestiges d'une ère révolue depuis la révolution nassérienne.
mercredi 28 février 2007
ô Alexandrie !
Le troisième jour, après le petit déjeuner sur la terrasse de l'appartement dominant le quartier de Dokki, nous partons à la gare Ramsès. Malheureusement, pas de train avant deux heures pour Alex, alors on se replie sur le bus. Nous traversons la région fertile du Delta du Nil avant d'arriver à la gare centrale. Ici, plusieurs différences avec Le Caire, la ville est légèrement plus calme (mais les rues toutes autant difficiles à traverser...) mais surtout, l'air de la mer se fait sentir, changeant de l'atmosphère cairote. Les bâtiments se font plus colorés et au détour d'une rue on peut tomber sur des immeubles tout ce qu'il y a d'européen, vestiges d'une ère révolue depuis la révolution nassérienne.
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